Et si il fallait plus qu’une séance de sport, un panier de fruits ou une partie de console pour rendre un salarié heureux et productif ?
C’est ce que semble confirmer une étude menée par Oracle dans 11 pays et auprès de 12 000 employés de tout strate : managers, leaders RH et cadres supérieurs. Selon l’enquête, près de 76% des interrogés affirment que “l’entreprise devrait faire plus protéger la santé mentale des employés”. Un constat sans appel qui amène à reconsidérer les idées reçues sur le sujet et les pansements traditionnellement appliqués pour favoriser le bien-être des salariés. Dans cet article Flashbrand propose une nouvelle voie pour favoriser le bien-être au travail et l’engagement des collaborateurs. Au carrefour de la technologie des datas et du développement personnel.
Aujourd’hui plus que jamais, le sujet de la qualité de vie au travail en entreprise semble être une urgence absolue pour plusieurs raisons :
Selon une récente étude Opinion Way, 2,55 millions de salariés sont touchés par un burn-out sévère en France. Une situation qui a empiré avec la crise du Covid.
Elles veulent davantage d’autonomie dans l'organisation du travail, rêvent d’épanouissement personnel, de sens au travail et revendiquent l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle.
Le Covid-19 laisse place à la grande démission… des ondes de choc qui mettent à mal des piliers cruciaux pour la performance de l’entreprise tels que l'engagement des collaborateurs et la rétention des talents.
Face à ces bouleversements, les décideurs RH seront contraints de repenser la culture d’entreprise en profondeur grâce à des solutions qui vont au-delà des mesures classiques comme le recrutement d’un Chief Happiness Officer ou le réaménagement des espaces de travail.
Les enjeux liés au bien-être au travail sont nombreux et impactent autant les collaborateurs que les organisations. Ils touchent bien-sûr à la santé mais pas seulement. Il en va aussi de la rétention des talents et productivité.
Le Code du Travail français qui précise que “ l'employeur (doit prendre) les mesures nécessaires pour (...) protéger la santé mentale des travailleurs” notamment “par des actions d’information et de formation (...) et la mise en place d’une organisation et de moyens adaptés.”
Veiller à la santé des salariés est en effet l’enjeu prioritaire. Car l’absentéisme qui découle de la souffrance au travail coûte cher : 108 milliards d’euros selon une récente étude de l’Institut Sapiens. Sans parler du turnover, et des dépenses en recrutement.
Selon la fondation anglaise Mind, 60% des collaborateurs se sentiraient davantage motivés par un employeur qui se soucie de leur santé mentale et physique.
Mais c’est avant tout la capacité à instaurer une relation de confiance (entre un employé et son manager ou son entreprise) qui permettra de booster la motivation et l’engagement des équipes.
Se préoccuper du bien-être de ses salariés permet par rebond de mieux fidéliser ses collaborateurs et de réduire les coûts du recrutement. Car un salarié heureux est un salarié qui souhaitera rester et progresser dans l’organisation.
Dans un contexte de compétition intense entre talents, particulièrement dans le digital, l’entreprise doit pouvoir identifier en temps réel les compétences clés à développer mais doit aussi être en mesure de manager les candidats à haut potentiel.
Les employés doivent pouvoir retrouver au travail une expérience utilisateur digne des outils qu’ils utilisent au quotidien dans leur vie personnelle. Exit les process à rallonge et la paperasse inutile qui créent davantage de stress et de frustration.
Un certain nombre de solutions ont été expérimentées dans de nombreuses entreprises pour rendre les salariés plus heureux et améliorer leurs conditions de travail. Avec des résultats plus ou moins probants et peu quantifiables. On peut citer parmi ces axes de travail :
Il ne s’agit ni de dénigrer ni d’encenser ces initiatives. Elles demeurent néanmoins insuffisantes et font davantage office de traitement symptomatique plutôt que de traitement de fond.
Comme le souligne l'INRS (Institut national de recherche et de sécurité), le bien être au travail “impose (...) de développer une posture d’écoute des salariés sur les facteurs organisationnels reconnus comme ayant un impact en matière de RPS : la définition des tâches, le sens du travail, la répartition de la charge de travail, les relations entre les collègues et avec la hiérarchie…”
Pour favoriser cette écoute nécessaire au bien-être dans le travail, l’entreprise doit remettre les collaborateurs au centre de ses préoccupations pour détecter leurs vrais besoins et y répondre de manière plus ciblée et individualisée.
Aligner les besoins des salariés avec les priorités business de l’entreprise est aujourd’hui vital.
C’est de cette rencontre qu’une organisation peut optimiser sa performance tout en rendant ses salariés plus heureux et plus engagés.
Pour cela, chaque collaborateur doit prendre conscience de ce qui le caractérise afin de connaître ses forces mais aussi ses axes de développement. Une culture de “growth mindset” propice à son épanouissement.
Grâce à la plateforme de feedback Flashbrand, l'employé peut s'exprimer à tout moment en donnant son opinion pour gérer de façon proactive son développement et sa performance.
Cette solution intégrant une Intelligence Artificielle fonctionne comme un miroir des comportements. L’application s’appuie sur la récolte de data en temps réel pour favoriser une culture de l’écoute et du feedback en continu pour que chacun puisse progresser, s'épanouir davantage et donner le meilleur de lui-même en toute confiance.
Un moyen fluide, efficace et sur-mesure pour chaque employé ou manager, de :
Et pour l’entreprise un levier pour mieux :